quarta-feira, março 31, 2004

A Educaçao para os Media na Europa

Até 16 de Abril estao abertas as inscriçoes para participar numa conferência internacional que deverá ser a mais importante iniciativa no âmbito da educaçao para os media na Europa. Decorrerá em Belfast, Irlanda do Norte, de 13 a 15 de Maio próximo. Um panorama geral das questoes a debater é fornecido no seguinte documento:

"1) Eduquer aux médias par la production médiatiques des jeunes: enjeux et objectifs

Un des courants majeurs de l’éducation aux médias vise à transformer les jeunes consommateurs de contenus et de messages médiatiques en producteurs-créateurs. Ce courant a connu un développement important tant dans le monde scolaire que dans les milieux associatifs. Que ce soient sous la forme de journaux lycéens, d’émissions de radio, de création cinématographique ou vidéo ou encore la réalisation de webzines, les domaines de production sont vastes. Tant sur le plan des médias utilisés que des méthodes et objectifs poursuivis par les éducateurs aux médias.

Les participants à cet atelier seront invités à débattre et échanger, entre autres, autour des questions suivantes:

Quels sont les objectifs des projets visant la production médiatique par les jeunes?
Quel est le statut du “faire” dans un processus d’éducation aux médias?
Quels sont les enjeux liés à l’expression médiatique des jeunes et comment les intégrer dans le processus?
Comment intègre t-on les problématiques de droits d’auteurs et droits d’exploitation dans les productions de jeunes?
Quel statut réserver à la diffusion des travaux et productions réalisés par les jeunes?

2) Quelle place l'éducation aux médias doit-elle prendre dans les programmes d’enseignement ?

Les jeunes baignent aujourd’hui dans un environnement culturel médiatique. En Europe, l’école est un lieu essentiel pour leur permettre de s’approprier de façon autonome et créative les moyens de communication qui nous environnent.
Or, l'éducation aux médias occupe une place très variable dans les programmes scolaires. De l’absence à l’intégration complète, les situations varient d’un pays, d’une région, d’un niveau scolaire, voire d’un établissement à l’autre.

Les participants à l’atelier seront invités à échanger expériences et réflexions autour des questions suivantes:

Quels sont les freins et les leviers - au niveau gouvernemental, institutionnel et pédagogique - d’une intégration de l'éducation aux médias dans les programmes scolaires dans les différents pays européens?
Quelles stratégies développer pour légitimer l'éducation aux médias dans le cursus scolaire?
L'éducation aux médias doit-elle faire l’objet d’une discipline à part entière (obligatoire ou en option), faire l’objet d’un programme intégré, irriguer l’ensemble des disciplines, ou trouver sa place dans le cadre de projets interdisciplinaires, et à quel niveau d’enseignement (fondamental - secondaire - supérieur) ?
Quels sont les objectifs à poursuivre ?
Quels pratiques, savoirs, concepts enseigner, quelles compétences développer ?
Quelles méthodologies mettre en œuvre ?
Comment inciter les enseignants à faire la distinction entre l’utilisation des médias comme outils pédagogiques et comme objets d’analyse?
Quel soutien pédagogique leur apporter?

3) L’éducation aux médias « Tout au long de la vie »

Un concept à opérationnaliser,
Une politique européenne à construire…

L’éducation aux médias est aujourd’hui considérée comme une composante essentielle d’une citoyenneté responsable et d’une société plus démocratique. Les médias imprègnent, en effet, notre manière d’être et de penser, souvent ils conditionnent nos attitudes et notre comportement.

Distinguer l’information de la communication, analyser les représentations sociales véhiculées par la presse écrite, la télévision ou internet, mettre en perspective les contenus médiatiques et leur formulation, mesurer les enjeux et les contraintes de technologies en constante mutation, voilà bien autant de défis que l’homme du 21ème siècle va devoir relever quotidiennement.

Une éducation aux médias « tout au long de la vie » doit l’aider à sortir de la passivité, voire d’un certain fatalisme. Mais il est urgent de définir une politique en la matière, d’en préciser clairement les objectifs, d’identifier les publics à privilégier et les méthodologies à mettre en œuvre afin de construire une continuité basée sur le questionnement, l’analyse critique, l’autonomisation de l’individu, pas seulement comme récepteur mais aussi comme émetteur et acteur social, attentif et exigeant.

4) La formation des enseignants: qu’est-ce qui fonctionne le mieux, qui paie?

Le rôle encore marginal qu’occupe l’éducation aux médias dans les programmes scolaires entraîne de nombreuses questions et interrogations:

Comment former les nouveaux enseignants en éducation aux médias quand il n’y a pas de pré-requis pour la formation d’éducateurs aux médias dans les programmes?
Qui va financer ces formations si l’importance de l’éducation aux médias n’est pas reconnue au niveau national, régional ou local?
Comment faire prendre conscience aux enseignants qu’une formation est nécessaire alors que certains pensent que «tout le monde peut enseigner les médias»?
Le manque d’une place consistante pour l’éducation aux médias dans les programmes soulève les questions suivantes:

Les éducateurs aux médias doivent-ils être formés à des domaines spécifiques de l’éducation aux médias ou à une approche interdisciplinaire?
Dans les deux cas, quel rôle doit être donné à la production? Dans quelle mesure les professeurs des différentes matières peuvent-ils prendre en charge des travaux de production?
Il existe des questions génériques concernant la formation:

Quelle est la meilleure façon de former?
Loin de l’école ou de l’institution et avec d’autres enseignants, ou dans le contexte de la salle de classe? Par les professeurs sur place ou en sessions d’une journée par des formateurs extérieurs? Par la formation à distance?
Et pour finir, qui forme les formateurs et qui paie?

5) Comment media éducateurs et professionnels des médias peuvent ils collaborer au mieux pour développer et faciliter l’éducation aux médias?

La question de la participation des professionnels et des institutions médiatiques à toute forme d’éducation aux médias mérite d’être débattue. Pour beaucoup d’éducateurs, l’intervention de journalistes, réalisateurs, documentaristes… est jugée indispensable pour éclairer certaines activités de lecture des médias. Pour d’autres, elle serait inutile voire préjudiciable. Par ailleurs, des médias de plus en plus nombreux prennent des initiatives d’éducation aux médias dans leurs programmations ou à l’extérieur. Quelles sont-elles ? Que peut on en penser ? En quoi facilitent-elles ou non le travail des éducateurs aux médias ? Autant de questions qui déboucheront sur des demandes et des recommandations utiles pour l’ensemble des protagonistes.

6) Comment évaluer les résultats éducatifs de l’éducation aux médias?

L'évaluation joue un rôle primordial dans tout processus éducatif. Évaluer un processus éducatif, c'est porter un jugement sur les changements dans les comportements, les attitudes et les connaissances. Ces jugements peuvent permettre de mieux cerner les difficultés de compréhension, d'identifier ce qui se passe entre éducateurs et éduqués, et, également de valider la progression des élèves dans le processus éducatif. Certains pédagogues accordent une grande importance à la vérification et à l’appréciation - par interrogation, examens, travaux- du degré d'acquisition des connaissances et des compétences. D'autres considèrent que l'éducation aux médias doit profiter de sa nouveauté et de sa transversalité, pour se libérer des procédés scolaires d’appréciation et inventer ses propres moyens d'évaluer son déroulement et ses résultats. L'éducation aux médias est-elle à même de se libérer des processus d’appréciation et de validation traditionnels ou doit-elle se soumettre aux contraintes officielles d'un système d'examens traditionnel?"

quinta-feira, março 25, 2004

Audiencias prioritarias: niños y jóvenes.
Crear mejores escenarios y oportunidades para el uso de la televisión por los niños y los jóvenes.

Maritza López de la Roche
Investigadora Universidad del Valle - Colombia

A las audiencias hoy no las podemos concebir como simples grupos de consumidores o espectadores de los medios, sino en su carácter de espacios donde ocurren hechos socialmente significativos: allí se construyen identidades, se comparten significados colectivos, se generan nuevas ideas, se crean estilos de vida. En consecuencia, el término audiencia equivale a lugares sociales donde se reproducen o producen los significados, la memoria colectiva, la cultura. Esto, a su vez, implica pensar en las audiencias como poder.(...)
Ler a parte restante do texto AQUI.

quinta-feira, março 18, 2004

Educaçao para os media e nova TV pública no Programa do PSOE

Plano de choque en educaçao para os media, uma vasta operaçao de alfabetizaçao digital e uma televisao pública mais apostada na educaçao e na cultura, incluindo o papel de um provedor do telespectador sao algumas das medidas que o Partido Socialista Obrero Español, que acaba de ganhar as eleiçoes, prometeu no seu programa eleitoral. Aqui fica um resumo, extraído de umlongo documento programático:
- "El PSOE creará un nuevo Ministerio que, bajo la denominación de 'la Cultura y la Comunicación', englobará las políticas de medios de comunicación bajo la perspectiva cultural.
- Transformar integralmente la Televisión Publica española, para convertirla en una medio de comunicación de alta calidad y con contenidos prioritariamente orientados hacia la Cultura, la Educación y la Información veraz.
Las principales medidas que se adoptarán son:
- Creación del Consejo Superior de los Medios Audiovisuales. Capaz de inspirar, de forma independiente, la regulación del espacio audiovisual y de vigilar el cumplimiento de las normas establecidas.
- Creación de un Consejo Consultivo y un Centro de Estudios sobre Cultura, Educación y Comunicaci?n Audiovisual, con cometidos de asesoramiento y de observatorio sobre las relaciones entre estos ámbitos, en coordinación con las Ciudades y Comunidades Autónomas.
- Acuerdo Estatal para un Código ético por la Dignificación de Contenidos y constitución de la figura del Defensor del Espectador, lo que implicará obligatoriamente a las televisiones públicas y condicionará a las privadas, impidiendo la programación de 'contenidos basura'.
- Plan de Choque de Educación en Medios para todos los ciudadanos.
- Canales Digitales Públicos de Cultura y Educación.
- Acceso a los archivos históricos y documentales de RTVE, estableciendo una zona de documentación y videoteca en la página web de dicho Ente.
- Creación de un Departamento de Educación y Cultura en RTVE.
- Plan de Inversión en Tecnologías y Contenidos para la Cultura y la Educación, incluyendo de forma integral todos los aspectos relacionados con este ámbito: acceso, conectividad, producción y utilización real de los nuevos medios.
- Inversión en I+D+i para el incentivo de productos y servicios multimedia.
- Refundación de la TVE Internacional, con contenido específico para la representación mundial de las culturas de España, para la representación de las culturas latinoamericanas y europeas de interés común, con un doble énfasis que sirva para difundir la riqueza patrimonial de ambos continentes a la vez que divulga las vanguardias creativas y las nuevas tendencias culturales y de pensamiento.
- Plan de Alfabetización Digital que universalice, entre toda la ciudadanía, el uso activo y operativo de Internet y las nuevas tecnologías de la comunicación, en colaboración con las Ciudades y Comunidades Autónomas".

terça-feira, março 16, 2004

L'éducation nationale offre un guide aux élèves pour comprendre la télévision

LE MONDE | 13.03.04 |
Daniel Psenny

" La brochure a été réalisée avec France 5
Comment apprendre aux jeunes à regarder intelligemment la télévision ? Le ministère de l'éducation nationale tente de répondre à cette question en mettant à disposition des enseignants et des élèves un guide intitulé Télévision mode d'emploi. Commandé en 2003 par le ministre délégué à l'enseignement scolaire, Xavier Darcos, cet ouvrage de 64 pages a été réalisé par les organismes spécialisés du ministère (Scérén-CNDP et Clémi) en partenariat avec France 5, et sera disponible gratuitement dans tous les lycées et collèges.

"L'école, qui a trop longtemps négligé la télévision, a la responsabilité d'éduquer les jeunes à l'image, de leur apprendre à décrypter la télévision, exercer leur esprit critique et devenir des téléspectateurs actifs et lucides. Cela relève de sa mission pédagogique",a affirmé, mercredi 10 mars, M. Darcos lors de la présentation de la brochure aux enseignants. Selon une enquête Médiamétrie publiée en 2003, la télévision occupe la première place dans l'activité des jeunes de 4 à 14 ans, qui passent une moyenne quotidienne de 2 h 16 devant le petit écran. "D'où l'importance de ce guide", a souligné M. Darcos.

Présenté comme un outil pédagogique, Télévision mode d'emploi permet aux élèves d'apprendre à lire le langage audiovisuel. Chaque thème est traité sur une double page avec un article explicatif à gauche et des propositions d'activités pédagogiques à droite. Plusieurs références bibliographiques et des liens avec des sites Internet sont aussi proposés.

Les vingt thèmes sélectionnés par des formateurs, des universitaires et des professionnels de l'audiovisuel sont exhaustifs. Le lecteur y apprend, entre autres, comment se construit le langage télévisuel (montage, séquences, sons), comment s'organise une grille de programmes (cahiers des charges, stratégie, contre programmation) ou comment faire la différence entre fiction et réalité. "Il est indispensable d'apprendre aux élèves à différencier finement les images qui relèvent du régime de la fiction (clips, films de fiction, séries, publicités) de celles qui relèvent du régime de la représentation du réel (journaux télévisés, météo, sport)", souligne le texte de présentation.

Le sport, la publicité, les documentaires et, bien sûr, les journaux télévisés occupent une large place. "Le journal télévisé est la synthèse, la juxtaposition de fondamentaux (interview, reportage, écriture sur images venues d'ailleurs, encadré infographique...) qui constituent la spécificité d'un métier", rappelle utilement dans le guide Hervé Brusini, directeur du développement de France 3 et qui a dirigé pendant de nombreuses années les journaux de France 2 et France 3.

Un glossaire dans lequel sont récapitulés les termes de l'audiovisuel ("access prime time", "déontologie", "formats",...), des données techniques (télévision numérique terrestre, Internet, ADSL...), ainsi que les adresses utiles rendent cet ouvrage très complet."
Novelas assumem um novo papel social

Abordagem de problemas como a toxicodependência e a gravidez na adolescência ajudam a formar os espectadores Autores querem personagens cada vez mais reais
Ana Gaspar
in Jornal de Notícias, 16.3.2004


As novelas portuguesas são cada vez mais chamadas a desempenhar um papel importante na divulgação de determinadas informações e até mesmo na formação do grande público. Problemas como a gravidez na adolescência, a toxicodependência ou distúrbios alimentares começam a ser debatidos pelos personagens e a mensagem acaba por passar.
"Através de uma história televisionada passam-se frequentemente mensagens com uma alto valor de noticiabilidade", explicou ao JN o sociólogo Pedro Andrade, acrescentando que para aqueles espectadores que "nunca passaram pelo ensino secundário ou que não frequentaram a universidade, a novela fornece factos, ensinamentos, conselhos, 'modos operandi' e mesmo previsão de eventos" .
Um dos casos que pode servir de exemplo prende-se com a personagem interpretada pela actriz Fernanda Serrano - na novela da TVI "Queridas Feras" - a quem foi diagnosticado um cancro da mama. Nos episódios entretanto exibidos foi explicado como se faz o auto-exame da mama e uma mamografia e divulgada alguma informação sobre esta doença.
"Os casos específicos visionados pelo espectador actuam como uma forma de prevenção altamente eficiente", sublinhou o sociólogo.
Para Manuel Arouca, autor de novelas como a "Filha do Mar" e "O Teu Olhar" o importante é dar credibilidade aos personagens : "São as pessoas que vejo à minha volta e procuro que sejam verdadeiras de alma e corpo".
O autor não põe de lado a hipótese de utilizar uma destas situações. Porém, na sua opinião, seria "demagógico" construir uma novela apenas com este objectivo. Segundo Manuel Arouca o importante é "ir às coisas mais simples", como mostrar
a vida familiar, e depois podem surgir um conjunto de questões que devem ser trabalhados com alguma consistência e pedagogia.

segunda-feira, março 15, 2004

Literatura infantil e ilustraçao - encontro na Universidade do Minho

Vao decorrer nos próxims dias 18 e 19, quinta e sexta-feira, no Campus de Gualtar, Braga, da Universidade do Minho, o 5º Encontro Nacional e 3º Encontro Internacional de Investigação em Leitura, Literatura Infantil & Ilustração. Estes encontros promovidos pelo Centro de Estudos da Criança, têm como objectivo "dar a conhecer e divulgar a investigação e as práticas docentes que se produzem nestas áreas, nacional e internacionalmente. Pretendem, pois, ser um amplo espaço de divulgação, debate e confronto de ideias e alfobre de investigação interdisciplinar." Este ano, a área privilegiada é a da ilustraçao.

quinta-feira, março 11, 2004

Français-Com(munication): um blog para aprender francês

Français-Com(munication: Espace de divulgation des écrits des élèves de la 7ème A, 7ème B, 8ème B, 8ème D et de la 9ème B de l'école E. B. 2, 3 de Aristides de Sousa Mendes. (Um obrigado ao MediaTIC pela dica)

"Em defesa do empréstimo público nas bibliotecas portuguesas"

O Conselho Directivo Nacional da Associaçao Portuguesa de Bibliotecários, Arquivistas e Documentalistas decidiu associar-se ao movimento internacional em defesa do empréstimo público nas Bibliotecas, promovendo uma petição on-line que acaba de ser colocada ao dispor dos interessados para leitura e eventual subscriçao.
Refere a introduçao ao Manifesto sobre o assunto, em que se explica a razao de ser do abaixo-assinado:

"A Comissão Europeia, a 16 de Janeiro de 2004, decidiu pedir a formalmente informações a Espanha, França, Itália, Irlanda, Luxemburgo e Portugal no que se refere à aplicação a nível nacional do direito de comodato público harmonizado nos termos da Directiva 92/100/CEE relativa ao direito de aluguer, ao direito de comodato e a certos direitos conexos aos direitos de autor em matéria de propriedade intelectual.
Isto significa que há o risco de ser instituída uma taxa sobre o empréstimo de livros e outros documentos nas bibliotecas portuguesas, sejam elas públicas, escolares, universitárias ou outras.
Num país como Portugal, em que as dificuldades económicas e os incipientes hábitos de leitura dificultam o acesso de vastos sectores da sociedade ao conhecimento e à cultura, uma medida dessa natureza seria catastrófica, asfixiando os trabalhos em curso de promoção da leitura e constituindo um passo na direcção errada, no caminho da requalificação dos portugueses, para enfrentarem com sucesso os desafios da designada sociedade do conhecimento.
Estas medidas acabariam por «matar a galinha dos ovos de ouro» com efeitos nefastos para os próprios autores. As bibliotecas, caso tenham de desviar parte do seu orçamento para o pagamento de taxas por empréstimo, começariam a adquirir menos livros. Os autores deixariam de contar com as bibliotecas para divulgar as suas obras. Deixariam de contar com as bibliotecas para adquirir as suas obras. No mercado livreiro português, com tiragens que raramente ultrapassam os 3000 exemplares, as bibliotecas representarão, em muitos casos, pelo menos 10% das vendas.
Acompanhando o movimento europeu de contestação a esta tomada de posição da Comissão Europeia, a Associação Portuguesa de Bibliotecários, Arquivistas e Documentalistas – BAD, solicita a divulgação / e apoio ao presente manifesto, exigindo ao Governo de Portugal que mantenha as isenções relativas a Bibliotecas, Arquivos e Museus, contempladas no Decreto-lei nº 223/97, de 27 de Novembro."
ENTREVISTA A ULISSES LACAVA
A infância na mídia latino-americana

Mônica Herculano, in Observatório da Imprensa

No final de Janeiro, a Rede ANDI América Latina, iniciativa da Agência de Notícias dos Direitos da Infância, foi anunciada como um dos três projetos sociais com maior potencial de replicação e impacto social no mundo. Mônica Herculano entrevista o seu responsável para a América Latina.

quarta-feira, março 10, 2004

Publicidade para os mais pequenos

"Of the $8 billion in advertising targeted at children last year, $3 billion
was on food ads alone. Very little of that encouraged kids to eat their
vegetables, most promote high-calorie, low-nutrition brands and health
experts are staring to make a connection between these ads -- many seen
during children's television shows -- and the rising rate of obesity in
kids."
in Broadcasting Cable (exige assinatura).

terça-feira, março 09, 2004

Pizarras y ordenadores
por Luis Ángel Fernández Hermana
in En.red.ando, 9.3.2004

¡Al agua, patos!

Cuando se mete en el mismo paquete a la educación y las tecnologías de la información, los maestros y profesores se echan a temblar y los fabricantes de ordenadores se frotan las manos. No es para menos. Para los primeros, la mención del uso de las tecnologías de la información e Internet suele ir revestida de un tono conminativo, casi de imperativo categórico. No se dice casi nunca qué hay que hacer en concreto con estos nuevos instrumentos tecnológicos, pero para el colectivo de enseñantes está claro que debería hacer algo con ellos, aunque el qué y el cómo le parezca una asignatura más bien oscura. A los segundos, les sopla el viento de cola: toda propuesta de incrustar las TIC en la educación -actividad a la que se están volviendo adictos los políticos, estén o no en campaña electoral- no tiene más remedio que hablar de inmediato de ordenadores porque, bien pensado, ¿de qué otra cosa van a hablar los políticos? ¿de qué hacer con los ordenadores? ¿de cómo trabajar con o en Internet en las escuelas? ¡Pero si no lo saben muy bien los profesores, ¿cómo lo van a saber ellos, que lo único que deben procurar es que "nuestros colegios cuenten con la dotación tecnológica más avanzada para afrontar la Sociedad del Conocimiento"?! Conclusión: la meta es un alumno, un ordenador, y lo demás son pamplinas.
Visto desde una cierta distancia, no cabe duda de que nos encontramos ante un enrevesado dilema. Acceso a Internet y ordenadores para poder acceder a la Red parecen las premisas ineludibles para dar el salto hacia eso que nosotros llamamos educación en red, y que para otros es la utilización de la informática e Internet en las aulas. Pero la diferencia entre una y otra política, entre la educación en red y las famosas aulas de informática, es posiblemente la que marque no sólo qué tipo de educación vamos a tener (y, por tanto, qué papel vamos a jugar en la Sociedad del Conocimiento), sino incluso su propia sostenibilidad económica y social.

La política actual, tanto en España como en la Unión Europea (y que también se sigue en muchos países de América Latina), pone el énfasis en dotar a los colegios de suficientes ordenadores como para afrontar con garantías la educación en un mundo interconectado. Nadie sabe con exactitud cuál es la cifra mágica: si uno por alumno, uno cada dos alumnos, 1:4, 1:8, etc. Nadie lo sabe, en principio, porque no está muy claro todavía qué hay que hacer con los "marditos ordenadores", como, en este caso, dirían los ratones. Si trasladáramos estas dudas a los libros, por ejemplo, sabríamos aproximadamente de qué clase de educación estaríamos hablando según la relación que tuviéramos de alumnos por libro. Como todos sabemos, no es lo mismo la relación de 1:1, es decir, cada alumno posee su propia dotación de libros, que si estos hubiera que compartirlos entre alumnos. No digamos ya entre escuelas.

Pero al no poder prefigurar, por ahora, esta relación entre los usos de Internet en la educación y la base tecnológica imprescindible para abordarla, hay otra cuestión tan, o más, importante, que queda escondida tras las bambalinas: el costo de la experiencia. Un ordenador no es lo mismo que una pizarra. Ni en coste, ni en amortización. Como dice la conocida metáfora sobre lo poco que ha cambiado la educación en el último par de siglos, si un extraterrestre que nos hubiera visitado en 1900 vuelve hoy, una de las pocas cosas que encontraría prácticamente en las mismas condiciones sería el aula: la pizarra (quizá hoy blanca en vez de negra), la agrupación de alumnos por edades, la relación entre profesor y alumnos, etc. La inversión en pizarras no ha sido, desde luego, el escollo para el desarrollo del sistema educativo.

La inversión en ordenadores es harina de otro costal. Estamos hablando de máquinas relativamente caras, cebadas con gigabytes de memoria, hartas hasta el eructo de programas (y licencias) de todo tipo para adentrarse en el mundo del futuro, y con una vida media de 4 o 5 años. En comparación con las pizarras, los ordenadores viven constantemente al borde del infarto. ¿Qué colegio, o sistema educativo, puede soportar esta tasa de renovación de su parque de ordenadores, sobre todo cuando éste ya no se reduce tan sólo sólo a un aula de informática, sino a un ordenador cada ocho, cuatro o dos alumnos? ¿De dónde sacará los recursos dentro de tres o cuatro años cuando cientos de PC comiencen a pedir aire para evitar la infoasfixia? ¿Asistiremos a auténticos "cracks informáticos" acompañados de revueltas estudiantiles porque las famosas tecnologías de la información se han quedado vetustas justo cuando explota en toda su gloria y esplendor la Sociedad del Conocimiento? Porque, si ahora no, se supone que para entonces ya sabremos qué hacer con tanta conexión y tanto ordenador en las aulas y habrá gente -profesores y alumnos- que sabrá qué es lo que pide y para qué.

El programa de Red.es para la educación supone una inversión en ordenadores de varios cientos de millones de euros. ¿Cuántas veces se puede poner en marcha un programa de esta naturaleza? El costo del programa actual excede con mucho a que cada colegio de España pida cada semana una pizarra nueva para cada aula durante un año. La diferencia, claro, es que las pizarras siempre se pueden reciclar. Los ordenadores también, pero no tanto, y hay que asumir el gasto de la renovación. Algunos centros educativos -lamentablemente, como sucede en todo lo que tenga que ver con la educación en red, las iniciativas suelen circunscribirse a algunos centros o algunas administraciones locales- están tratando de alargar la vida del problema buscando alternativas junto con algunas de las corporaciones de la informática.

Una de las soluciones es regresar al esquema de "cliente-servidor". Los colegios alquilarían servidores residentes en estas empresas y adquirirían terminales "relativamente tontos" conectados a dichos servidores. De esta manera reducirían el volumen de la inversión en máquinas y en programas -que estarían en los servidores- y la estructura tecnológica tendría dos o tres años más de vida que si ésta descansara en PC totalmente equipados instalados en las aulas. Hay muy pocos proyectos de este tipo en marcha, por lo que resulta difícil en estos momentos evaluar los pros y contras de esta solución, aunque, a primera vista, los centros educativos suelen ver con cierta desconfianza el depositar su información y conocimiento en máquinas que ellos no controlan directamente.

De todas maneras, el meollo del asunto permanece: ¿cómo se rentabiliza o amortiza la inevitable inversión tecnológica para integrar al sistema educativo en la Sociedad del Conocimiento? La respuesta, desde luego, está en los dos términos de la ecuación: Sociedad y Conocimiento. Es decir, por una parte, la socialización de la educación a través de la Red. Por la otra, la generación de conocimiento que permita socializarlo mediante proyectos basados en el desarrollo de metodologías y procedimientos protocolizables y transmisibles. En otras palabras, sistemas de educación en red que generen productos de conocimiento sintetizables, empaquetables, exportables y vendibles. La experiencia es uno de los activos más eficientes, productivos y rentables de la Sociedad del Conocimiento. La experiencia en la educación más todavía, por ser el eje transversal organizador de dicha sociedad.

La experiencia, en este caso, se basa en la capacidad para poner en pie proyectos de educación en red que permitan socializar los procedimientos y los resultados por encima de las determinaciones territoriales del sistema educativo. Es decir, creando territorios virtuales, "territorios en red", donde la educación se despliegue en proyectos que compartan recursos y conocimientos, integren a nuevos sectores sociales (como desarrolladores de materiales multimedia, pedagogos, investigadores, organizaciones civiles de distinta índole) y se abran a las problemáticas específicas de las comunidades locales.

Si se pone la carga de la prueba en la generación de contenidos y bases de conocimiento transmisibles, en vez de cargar las tintas en el número de ordenadores y las estructuras tecnológicas necesarias para soportarlos, entonces comenzaremos a apreciar la importancia de los procesos de alfabetización digital como sustrato imprescindible para desarrollar la educación en red. La elaboración y puesta en marcha de proyectos de esta naturaleza serán los que hagan emerger un sector de la educación, con su propia industria de la información, capaz de generar los recursos que hagan sostenible sus esfuerzos. De lo contrario, tan sólo avanzaremos a pasos agigantados hacia el clásico paradigma de "ordenadores para hoy, hambre para mañana".
Esta é a Semana dos Media - e tem um blog

A Semana dos Media na Escola decorre este ano na Escola Secundária Leal da Câmara de Rio de Mouro, numa iniciativa da Equipa de "Educação para os Media" do DEB (Departamento de Educaçao Básica) e da Escola Secundária Leal da Câmara. Um blog, o 100Letras (que está criado, mas ainda quase "sem letras", isto é, sem animaçao) foi igualmente criado no âmbito desta iniciativa.
Hoje, entre as 10h e as 12h, os interessados poderao participar no programa de rádio Antena Aberta - RDP Antena 1, ligando para o número de telefone divulgado durante o programa que versa sobre A Escola e a Formação da Cidadania. Poder-se-á fazer também uma visita virtual à exposição de jornais escolares do Concelho de Sintra (hoje o link ainda nao estava activado) .
Finalmente, é igualmente possível consultar o jornal digital, que será permanentemente actualizado ao longo da Semana, com notícias e reportagens sobre o que vai acontecendo.

sexta-feira, março 05, 2004

As crianças e a TV digital

O relatório que a organizaçao Children Now acaba de publicar: Digital Television: Sharpening the Focus on Children - A Report from Children Now (Spring 2004).

segunda-feira, março 01, 2004

Geneviève Jacquinot na Universidade do Minho

A Professora Geneviève Jacquinot, da Universidade de Paris 8, vai estar na Universidade do Minho, em Braga, de 10 a 14 deste mês, proferindo, no dia 12, às 15 horas, no Instituto de Educaçao e Psicologia (IEP) uma conferência intitulada "Les campus numériques à la française: une occasion à ne pas manquer!". A Prof. Jacquinot, que tem dedicado grande parte da sua investigaçao e ensino à educaçao para os media, tem incidido os seus trabalhos, nos últimos tempos, nas questoes relacionadas com o e-learning. De resto, o motivo primeiro da sua deslocaçao ao Minho é participar no júri de um doutoramento que co-orientou, o da Dra Lia Raquel Oliveira, docente do IEP, que submete uma tese intitulada 'A comunicacao educativa em ambientes virtuais: um modelo de design de dispositivos para o ensino-aprendizagem na universidade.', prova que tem lugar no dia 11, às 15 horas.

Sobre a noçao de "campus virtual", escreve Lia Raquel Oliveira:
"O que é então o Campus Virtual, para além de «uma declaração de guerra à papelada e às fotocópias»?
O Campus virtual funciona numa lógica de cooperação e implica a constituição de consórcios (europeus e mundiais) entre universidades devendo e podendo neles participar empresas e outras instituições. Trata-se de um dispositivo de formação modularizada que reforça a qualidade dos conteúdos. Acresce a responsabilidade dos estudantes porque deles exige maior autonomia. Permite escolher o espaço e o tempo da formação facilitando o acesso a informação e permitindo a construção de conhecimento. Por outro lado, responde a necessidades bem identificadas, combina recursos do multimédia, da interactividade, dos ambientes digitais com o enquadramento humano e administrativo necessário à aprendizagem e à sua validação. Enfrenta grandes desafios, particularmente no que respeita a normas e standards (e.g. validação das competências adquiridas, ou seja, a avaliação). A sua implementação é progressiva e exige um quadro jurídico específico…"

Um texto de G, Jacquinot:
AU-DELA DU MODELE CANONIQUE DE LA RELATION MAITRE-ELEVE: LES TIC OU COMMENT FAIRE CIRCULER LES SIGNES DE LA PRESENCE